Niger Communications: May 1, 2011 to February 28, 2017

This page summarizes cases raised with Niger by the Special Rapporteur between May 1, 2011, (when the Special Rapporteur took up his functions) and February 28, 2017 (the date of the last public release of communications). Communications are released to the public once per year. This page also contains observations on these communications and on responses received from Niger.

Communications and observations are divided into sections based upon which observation report they originally appeared.

Each communication is referenced as urgent appeal (UA), allegation letter (AL), joint urgent appeal (JUA) and joint allegation letter (JAL) – the hyperlinks lead to these documents. This is followed by the date the communication was issued, as well as the case number and the State reply (also hyperlinked if available).

Summaries and communications are published only in the language of submission (in the case of Niger, French).

First Report (May 1, 2011 to March 15, 2012)

None

Second Report (March 16, 2012 to February 28, 2013)

None

Third Report (March 1, 2013 to February 28, 2014)

None

Fourth Report (March 1, 2014 to February 28, 2015)

Joint urgent appeal, 26/05/2014. Case no: NER 1/2014. State reply: 26/08/2014. Allégations relatives à l’arrestation et à la détention arbitraire du coordinateur de l’organisation Volontaires pour l’Intégration Educative (V.I.E.) Kande Ni Bayra.

Observations

Réponses aux communications
Le Rapporteur spécial remercie le Gouvernement pour les informations fournies en réponse à sa lettre du 26 août 2014 concernant l’arrestation et la détention de M. Ali Abdoulaye. Il remercie les autorités pour leur collaboration avec le mandat, conformément aux résolutions du Conseil des Droits de l’Homme 24/5 (2013), 21/16 (2012) and 15/21 (2010).

Environnement dans lequel les droits sont exercés
Le Rapporteur spécial se réjouit de la libération de M. Abdoulaye, intervenue le 4 juin 2014, mais exprime de sérieuses préoccupations selon lesquelles son arrestation et rétention administrative arbitraires puissent être liés à son travail en faveur des droits de l’homme, en particulier la lutte que mène son organisation pour la réduction de la pauvreté au Niger. Il appelle les autorités à prendre toutes les mesures adéquates pour assurer que les défenseurs des droits de l’homme puissent exercer leurs droits à la liberté d’association et de réunion pacifique dans un environnement favorable leur permettant de mener à bien leurs activités sans risque d’être exposés à des menaces, représailles, intimidations ou actes de harcèlement.